L’équipe type de Ligue 1 Ubershit 2020-2021.

Comme toutes fins de saison, tous les médias sportifs y vont de leur bilan, de leur équipe. Comme nous aussi nous sommes parole d’évangiles, cancres, cancer/parodie de l’analyse footix, nous vous assénons nos ondes de cette vilaine saison 2020/2021.

Après une grande concertation à laquelle, bien évidemment, ni Anakin999 ni Guigs n’ont eu leur mot à dire, voici notre onze type des joueurs méritants. Peu de Qatari, parce que c’est sale.

Ça n’a pas été simple de départager les portiers, mais la non affiliation à un état féodal a fait pencher la balance pour Maignan qui a été le pompier de service lorsque les dogues prenaient le bouillon.

Devant lui, Badé a fait l’unanimité, surtout s’il signe chez nous l’année prochaine, et bien évidemment Marquinhos très souvent intraitable.

Sur les ailes, deux joueurs qui ont explosé cette saison, Perraud sur les tablettes de la moitié des clubs d’Europe et Centonze, lui aussi devant sa place à notre objectivité légendaire (voir le cas Badé).

Au milieu, André a mis tout le monde d’accord hormis quelques footix à l’apéro, de par sa qualité de placement, son jeu de tête et bien sûr son nombre de duels gagnés. A côté de lui nous aurions mis Kamara s’il n’avait pas lâché en fin de saison alors Tchouameni a été crescendo l’homme fort de Monac’.

En attaque sur les côtés, pas de Qatari, sanctionnés pour leur bel état d’esprit. Golovin : le super sub’ le gars qui renverse la vapeur, le joueur qui a certainement la meilleure vista du championnat avec Payet mais ce premier court… A droite Depay, la feignasse des gones aux stats imposantes, alors c’était lui ou Mbappé… le choix était vite fait.

Devant, Yilmaz là où on attendait David. Nous aurions mis Milik sur une saison complète mais le Turc est un chien de guerre, pas le plus doué, juste, le mec qui n’abandonne jamais et qui plante. À ses côtés, c’était Volland ou Ben Yedder. Après un début de saison difficile, Monaco a enclenché le turbo: c’est la résurrection de Wissam qui a changé la donne.

En entraîneur, Galtier l’emporte d’une courte tête face à Kovac, en faisant mieux avec un effectif plus léger.