« Quand tu aimes, tu n’écris plus… »

Feat. Tom McRae (You Cut Her Hair)

Quand tu aimes, il faut partir, écrivait Blaise Cendrars, personnage mystérieux et controversé, jusqu’à la prononciation de son nom. Comme le X de Chamonix, le Y de paye et le Z d’Avoriaz.

Quand tu aimes, il faut partir ? j’ai choisi de rester.

Après une demi-douzaine d’années d’un siège acharné, menées avec la persévérance et la témérité d’un mamelouk, la Cita-Belle s’est rendue, corps et biens.

Et trouver l’amour brise la lyre et tarit l’inspiration. Ou, plutôt, le besoin d’écrire. Pour votre zélé serviteur comme pour beaucoup de ses pairs, l’encrier se vide à mesure que le cœur s’emplit.

Ce fieffé paradoxe ne m’aurait pas perturbé le sommeil ni brisé les noix plus que ça, si, chaque jour que Dieu bricole, je ne constatais que les filles sont nues, qu’elles se jettent sur moi, qu’elles m’admirent, qu’elles me tuent, qu’elles s’arrachent ma vertu, poil au…

A-na-kiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiineeeee, écriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !

Conséquemment, j’ai donc décidé, sous les cris de la doule en félire, de vous proposer ce petit collier de mots en forme de cadeau de Noël.

Là où l’Académie statue, je réhabilite. Là où les RS ostracisent, j’étale. Là où les bien-pensants vocifèrent, je me marre.

Tenez :

Pédé, mongolien, tata, débile, grosse, salope, connasse, grosse pute, enculé, piéton, violeur, ringard, beauf, flicaille, niakoué, boucaque, bougnoule, rital, espingouin, feuj, français, vieux, moche, chauve, sourd, aveugle, crétin, clébard, chatte, inverti, dégénéré, orangina, gâteux, morveux, prussien, polyglotte, casse-couille, belle-mère, bigote, apostat, gendre, baiser, oui, non, vas-y, incapable, feignasse, directeur-du-personnel, patron, larbin, zombie, banane, viande et poisson.

C’est cadeau, ça me fait plaisir ; c’est entre Coluche et Haddock, et ça n’empêche pas de vous aimer, tous, toutes (oui, même toi qui n’as pas de culotte) et, vous, de vous aimer les uns & les autres…

Pas vrai ?

Joyeux Noël

Jedï-ment vôtre

A999

Publié par anakin999

Caillolais (Marseillais de l'Est), 45 au compteur, papa, fan de l'OM et locataire du Vél depuis toujours. Oscille ses émois entre Tigana et Canto, les fils du village. Rédacteur inspiré des deux mamelles de la vie : l'OM et les mamelles (de la vie).

6 commentaires sur « « Quand tu aimes, tu n’écris plus… » »

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