Fausses Notes Reims-OM: La Série S’Amuse !

Reims qui a vu ici s’arrêter sa série de 19 matchs sans défaite. L’OM qui poursuit sa série de victoire à l’extérieur : la série s’amuse !

Les personnages principaux:

Lopez 7: des plongeons digne du Prince de Bel Air. Will Smith est plus fort que Will man of Still. En sus, une passe d, des arrêts, et beaucoup de réussite: il a anéantit les monstrueux attaquants de Reims assoiffés de sang. Décisif ? Tu l’as dit Bouffie, contre les vampires.

Rongier 7: placé au centre de la défense, le Charles Ingalls de Loire Atlantique a attendu le but de Balogun, étrangement seul, pour construire sa petite maison dans la prairie devant les cages. Si la gamine se gamelle toujours pendant le générique, on finit le match toujours remplit d’empathie, et de bons sentiments.

Gigot 7: avec son physique fait pour jouer dans un péplum, il rappelait le bel Héllène, et les garçons. Dommage, une tête qui fuit le cadre et qui aurait pu nous rappeler ses Premiers Baisers, avec un gode ceinture qui avait transpercé Lyon.

Mbemba 7: comme il le chante sous la douche, dans le vestiaire:  » So no one told you life was gonna this way, you’re job is joke, you’re broke, you’re love life’D.O. A. it’ like you’re always stuck in second gear, when it’s haven’t been your day, you’re week, you’re month, or even you’re year, I ll be there for you ( when the rain stars to pour), I’ll be there for you ( like i’ve been there before, I’ll be there for you ( ’cause you’re there for me too)

Clauss 7: Jonathan n’a toujours pas retrouvé Jennifer Heart ohoho. Si tu ne le fais pas pour toi, fais le pour L’amour du risque

Veretout 7: Avalé comme une vulgaire souris par Marshal Munetsi sur l’ouverture du score, Veretout s’est mué en lézard tout vert tout, au fil du match. V, comme Veretout le visiteur qui voulait soumettre l’humanité, mais qui n’a pu colonisé le milieu de terrain que par à-coup, face à la résistance rémoise.

Tavares 7: encore une mi-temps qui ressemblait à un remake des Mystères de l’ouest. Du mieux en seconde, dans les intentions, mais on est toujours loin de lui crier:  » Zorro est arrivéééé ! »

Guendouzi 7: le grand gagnant de la saison 1 de Squid Game. Puis happé par sa conscience au milieu de la saison 2, il dit:  » Vous avez tué tous ces gens, et pourtant, vous appelez ça un jeu?!!! »

Under 7: prenez Cengiz Under, ajoutez lui une moustache, et vous pourrez vous regaler devant la version turque de Louis la Brocante. Ok, ce n’est pas ce qu’on voulait voir, mais fallait pas résilier votre abonnement Netflouxe, en même temps… »Chérie, elle reprend quand la saison d’Under-cover? »

Malinoskyi 7: Ruslan, c’est comme la famille Addams: quand on le titularise on ne sait jamais sur lequel on va tomber. Contre Paris en coupe, c’était un Mercredi. Hier, c’était un vulgaire cousin machin, voire l’oncle Fétide sur certaines séquences. Cela ne nous empeche pas pour le moment de claquer des doigts quand apparaît son nom au générique.

Sanchez 20: « Je suis l’homme qui tombe à pic, Je suis l’homme qui vient de loin, Et dans ma peau de flic, Je n’ai jamais peur de rien. Je suis l’homme qui tombe à pic, J’ai votre vie entre mes mains, Et si je prends des risques, Ce n’est jamais, jamais vain ! »

Les seconds rôles:

Ounahi: il essaie de passer de Super Nanny à Chuck Nourrice Texas Rangers. Casting parfait pour « Le Caméléon ».

Kaboré : ce n’est toujours pas l’Actor’s Studio, mais ça sonne déjà moins faux qu’à ses débuts dans Mon oncle Charlie Kaboré.

Bailly: dans la série « H » , forcément, pour la reformation du duo Éric & Ramzy. Quelques minutes de jeu: c’était Quick !

Vitinha: tellement bon dans Fantomâs qu’on ne l a ni vu ni reconnu.

Les special guest:

Tudor 7: il rappelle cette phrase de Steve Harrington dans Stranger Things:  » Je suis peut être un petit ami merdique, mais il s’avère que je suis en fait une très bonne baby-sitter. »

Longoria: c’est le professeur dans la Casa del papel. Comme le dit Tokyo:  » A tout point de vue: un fantôme. Mais un fantôme extrêmement intelligent.«  Il ne paie pas de mine avec sa barbe de 3 jours, sa timidité, et sa Séat Ibiza rouge, mais c’est pourtant lui le cerveau de l’affaire. C’est lui qui a élaboré le plan pour que le club finisse par braquer la banque européenne. Bon, on va déjà tacher de rentrer dedans une seconde saison d’affiler.

Franck McCourt: alias Steve Austin dans « L’Homme qui valait un milliard »

Machin Vézirian: la vente de l’OM, une série aussi brève et passionnante que Les feux de l’amour. Mais ça fait parler les vieux.

Et maintenant une petite trêve internationale, avant de finir la saison de notre série préférée : Allez l’OM !!!