Putain, c’est tellement bon! (OM-OL : 1-0).

Premier point:

Faudrait que j arrête de regarder la photo d’Aulas à la fin du match. Mais putain, c est tellement bon! Putain, c’est tellement bon! Putain, c’est tellement bon!

Deuxième point:

Qui a dit le premier juillet ( et non pas le premier avril, n.b.): « il y a peut être des coachs dans d’autres clubs de ligue 1 qui sont en train de vouloir partir parce qu’ils sont jaloux du recrutement qu’on est en train de faire »

a) Gilbert Montagné

b) Bruno Cheyrou

c) Bruno Montagné

d) un mec suffisant et vaniteux, qui doit être en train de s’ettouffer dans son arrogance comme Jimi s’était ettouffé dans son vomi.

Troisième point:

Le changement, c’est de la com’. Alors qu’Igor avait offert aux journalistes un émouvant moment de contrition, tel qu’on le voit normalement que sur le plateau de Sophie Davant, autrement appelé l’Oprah Winfrey du camembert, Igor montrait à tous que les remarques des observateurs étaient suffisamment douces pour qu’il se torche avec. Igor aimer papier de verre épaisseur triple. Sanchez, seul en pointe. Payet, sur le banc. Vaut il mieux être seul, ou mal accompagné ? On ne saurait répondre puisque Guendouzi lui tenait compagnie sur la banquette. Le même milieu, dupond-dupont, et, seul changement notable, Under était de la partie, ce qui nous permettait d’avoir 3 joueurs offensifs aux 3 postes offensifs. Un truc de fou !

Quatrième point:

Mêmes joueurs, même système, mêmes principes, et donc mêmes effets. Si l’on ajoute en sus la fatigue d’un enchaînement de matchs sans rotation et les doutes nés d’une série de contre-performances et d’efforts jamais récompensés, cela donne un O.M. qui maîtrise son sujet mais qui a un mal de chien, à l’image de Tavares, à porter le danger dans le pot des gones. Un pressing intense, une récupération haute, toujours, en première mi-temps, mais une utilisation du ballon approximative.

Cinquième point:

En face, lyon, inoffensif, transparent, insipide, avait plutôt la gueule d’un agneau. Et puisque l’agneau avait la côte hier, l’OM, qui peinait à creer dans le jeu, ouvrait le score juste avant la mi temps sur un corner, et une belle tête bien ficelé de notre Gigot. A table, les enfants !

Sixième point:

A défaut d’être brillant, l’OM affichait des valeurs de solidarité pour se découvrir une solidité nouvelle et fraîche. Le bloc équipe etait soudé, mais reculait sans cesse, et nous ne tentions plus grand chose jusqu à l’entrée tonitruante de Payet, sapé de motivation comme jamais, qui delivra quelques caviars que personne n’osa croquer. En face, l’animal rugissait moins qu’il bêlait, mais cela suffisait pour que nous tremblions jusqu’au bout.

Septième point:

On ne peut pas ne pas parler de l’arbitrage. Coincidence, c est ce type qui arbitrait Paris-OM l’année dernière, et qui était à la var pour ce même match le mois dernier. Bref, on avait mal au cul, rien qu’à l’idée de le retrouver, et ce fut encore pire que ce que j avais imaginé. Un penalty flagrant sur une faute sur Sanchez… Circulez, il y a rien à voir ! Les lyonnais s’essuient les crampons sur nos mollets? Ca va, c’est rien, c’est l’amour à la boateng, ah oum chacha boom. C’est un scandale que les lyonnais aient fini ce match à onze, mais il paraît que leur président fait partie du comex… no comment. Enfin, un defenseur plonge tout seul, et l’on annule un joli but d’Alexis, purement et simplement. Et la var, me direz vous? Comme d’hab, ils devaient être trop occupés à bouffer des whoppers. Veggie, s’il vous plaît.

Huitième point:

Si la faiblesse lyonnaise n’est pas une nouveauté, ils réussissaient d’habitude à faire illusion le temps de nous fesser. Dembele, notre bourreau traditionnel a traversé sa mi-temps comme un mort vivant, et Laurent White spirit a hérité d’une équipe sans âme et sans force. Bien fait pour leur gueule!

Dernier point:

Nous avons renoué avec le succès, dans une belle ambiance d’encouragement. Le patient ne semble pas guéri, mais il a au moins montré l’envie de s’en sortir, à défaut de talents. Il nous faudra afficher bien d’autres qualités pour marcher sur le Rocher, le week-end prochain, mais l’essentiel était ailleurs hier. Rebondir enfin. Recoller au classement de tête, et s’asseoir au pied du podium. Retrouver le goût de la victoire et la joie d’une fin heureuse. Schtroumpffer le gargamel du Rhône, et le renvoyer à son comex. Plus notre victoire se dessinait, et plus il s’affaissait sur son siège. Et plus il avait la tronche en biais… Le bonjour à Guignol et Gnafron.

Putain, c’est tellement bon. Putain, c’est tellement bon !

10 commentaires sur « Putain, c’est tellement bon! (OM-OL : 1-0). »

      1. Ben en fait, j’ai été déconnecté et j’avais plus mon mot de passe, donc je suivais mais sans commenter, et pis hier, ben j’ai vu « mot de passe oublié? » et donc ben j’ai pu revenir… Mais sinon ben mois d’octobre au taquet…

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