Fausses Notes: OM 2- PSG 1 Les Vrais Héros En Action

LOPEZ 7: Rock.

Rester dans les (Nicolas) Cage et ne pas faire de (Sean) Connery. Sauvé par son poteau, lâché par sa défense sur le but. Pour le reste, Pau Lopez c’était le Rock en scène.

Mbemba 8: L’Arme Fatale.

Ou comment être à la fois le Rupert Murtaugh et le Martin Riggs de la défense olympienne, et démanteler le trafic d’héroïne bresilienne. Ça explose des chiottes, ça tire dans tous les sens. Je vous ai montré mes cicatrices? Seul bémol : Rongier a refusé de jouer Léo Getz. Okay, okay

Rongier 9: Une Nuit En Enfer.

Quand un argentin en cavale passe la frontière olympienne sans comprendre que Valentin Rongier est au football ce que Salma Hayek est à la beauté. Danse, mon Valentin, et prends lui tout son sang. Le Vel’, c est comme le « Titi Twister »: ça réserve plein de surprises, une fois la nuit tombée…

Gigot 8: Le silence des agneaux

Tel Hannibal le cannibal, Samuel a mangé tous ceux qui ont essayé de le dépasser, quitte à rentrer dans sa cage pour empêcher le ballon de passer. Si les parisiens ont été mis dans un bocal, c’est pour que Gigot les bouffe à l’eau, Bill. Pour un amoureux de l’OM, gagner Paris le mercredi c’est l’assurance de passer un très bon jeudi Foster.

Kolasinac 7: Le dernier Samaritain.

« Et ma femme, tu lui mets combien sur ton échelle de doitgs? » Même ligoté, Kolasinac te menace quand tu le cognes.  » Tu me refaits ça et je te tue ». Et il le refait, le con: Hakimi cours vite, si tu tiens à tes dents.

Clauss 7. Taken.

Que peut on imaginer de pire pour un joueur que d’assister à distance au kidnapping de son couloir? Mais Clauss est un ancien agent des services secrets, et il butera tout le monde sur son passage pour remonter la filière, tel Liam Neeson of a gun.

Guendouzi 8: Indiana Jones, les aventuriers de l’Arche Perdu ( puisque le Vel’ n’est plus un temple maudit.)

Après avoir mis les pied, comme on distribue des pains, au quatre coins du terrain, Guendouzi se retrouve face à Neymar. L’autre sort son sabre, commence ses chichi, et remue dans tous les sens comme une danseuse. Guendouzi Jones coupe court. Une balle dans le ventre, et l’aventure continue en quart de finale. On est toutefois encore loin de la dernière croisade.

Veretout 8: V pour Vendetta

Dans le football de l’après coupe du monde, apparaît un justicier signant ses actes de la lettre V. Cruel, et terriblement intelligent, Veretout s’attaque aux plus forts symboles de la dictature parisienne, animé par un immense désir de vengeance et une indicible haine. La police du Commandeur ne reussira jamais à mettre fin à ses agissements: Veretout pour Vendetta.

Under 9: Point Break

Le virevoltant olympien s’infiltre aussi aisément dans la surface parisienne que Keanu Reeves dans un gang de surfeurs-braqueurs-casseurs-flowteurs. Et c’est Ramos qui est en chute libre. « Je suis Johnny Utaaaaah! » Au final, comme Patrick Swayze, Ramos finira sa carrière dans un film de drag queen. Comme Keane Revees, Cengiz Under deviendra le redoutable John Wick !

Malinovskyi 8: Terminator 2, Le jugement dernier.

Une frappe aussi lourde qu’une claque d’Arnold Schwarzenegger. Un tir limpide, propre, et skynet. On raconte que Donnarumma est tellement traumatisé qu’il hante encore le Vélodrome à la recherche de Sarah Connor. « Hasta la vista, baby! » On attend de Malinovskyi qu’il maintienne ce niveau jusqu’à la fin de la saison. OK Computer, une promesse comme une sentence :  » I ‘ll be back! »

Sanchez 9: Jack Reacher

L’homme qui déjouait tous les complots, réels ou rêvés, de l’arbitrage et des instances du football français. Mais plus qu’un film, Alexis est une filmographie. Un Cocktail de talent, les Jours de Tonnerre. Un Homme d’honneur, qui se bat comme Le dernier samouraï. Avec lui dans l’équipe, aucune mission n’est impossible. C’est plus qu’un buteur, Alexis Sanchez: c’est un top gun, et un top player !

Tudor 10: Reservoir Dogs

En début de saison, on dissertait de son inexpérience comme d’une chanson de Madonna: like a virgin. Mais Tudor a sous la main une véritable équipe de tueurs. Des Mr Pink, Mr Orange, Mr Brown. De quoi en faire voir de toutes les couleurs, mais c’est surtout sur Little Green Bag de Georges Baker Selection qu’il donne sa pleine mesure. Son pressing, c’est comme une danse cynique de Michael Madsen devant une équipe adverse en sang et ligotée. Juste avant de lui découper l’oreille !

A noter également la très bonne entrée de Kaboré dans « Alien Vs Predator », tandis que Vitinha et Ounahi ont permis la réalisation du remake de « Double Détente ». Dimitri Payet, en revanche, est bien au générique de « No country for old men ». Mais ce ne sera sans doute pas son dernier chef d’œuvre.

Allez l’OM💙🤍

4 commentaires sur « Fausses Notes: OM 2- PSG 1 Les Vrais Héros En Action »

  1. Remake de braveheart pour L’OM et son « Ils peuvent nous ôter des titres… Mais ils ne nous ôteront jamais notre ferveur. » (William Wallace Longoria), contre remake de la 7eme compagnie où les soldats Leo Pithivier (ou petit vier) et Ney Tassin n’ont pu répondre aux attentes aux sergents chef Christophe Chaudard…
    Mais « le grand brun Nasser avec une chaussures noires » sera toujours en tête des box office….

    Aimé par 2 personnes

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