NATIONALE 7 (Feat. Charles Trenet) Juillettistes, Aoûtiens, mangeurs d’autoroutes, le saviez-vous, avant que la France ne fusse entrelardée de voies rapides, il existait une route qui traversât l’Hexagone de part en part : la N7. Chantée par le Fou de Narbonne, et son déchirant Coin de rue, elle permit de concrétiser la dernière avancée sociétale majeureLire la suite « Les Comptines d’Anakin (7) »
Archives de la catégorie : Culture à l’apéro
Les Comptines d’Anakin (6)
LOVE IS A LOSING GAME (Feat. Amy Winehouse) Me voilà vacciné. Pas contre l’amour, dieu-merci, le divin poison, la drogue la plus dure, le jeu d’où l’on sort perdant d’après certains, de Baudelaire à Amy, la voix la plus noire parmi les blanches. Pas contre la connerie ambiante, non, trop de variants et de mutations.Lire la suite « Les Comptines d’Anakin (6) »
Les Comptines d’Anakin (5)
IN THE MOOD FOR LOVE (Feat. Shigeru Umebayashi) L’été, hormonalement, me comble de bienfaits. Cela vaut bien deux piquouzes et la promesse fragile d’une immunité ; vous revoilà : restau, ciné, concert, festival ; mes frères, mes guerriers. Après six années de lutte pour la conquérir, acharnées, désespérées, presque vaines, mais triomphantes, la citadelle deLire la suite « Les Comptines d’Anakin (5) »
Les Comptines d’Anakin (4)
Saint-Claude, le 14 juillet 2021 C’est les vacances ! Mes amies, mes amis, je vous écris (tardivement) en villégiature, depuis le royaume (déchu ?) de la pipe. Tout un programme. Ne pas piper mot n’étant pas dans le registre de votre plumitif favori, je vais tenter de vous roborer l’âme avec cette chronique hebdo tantLire la suite « Les Comptines d’Anakin (4) »
Les Comptines d’Anakin (3)
MUSIC BOX (Feat. Portishead) Qu’il est loin le temps de l’innocence. Le temps des pyjamas en velours, des Lego qui piquent les pieds dans la pénombre, des papiers-peints improbables, des pochettes de 33-tours qui brillent, des radiocassette JVC, des parties sans fin de Subbuteo. De nos jours, si on veut « jouer à l’OM », il yLire la suite « Les Comptines d’Anakin (3) »
Les Comptines d’Anakin (2)
COMPTINE POUR DUO À CORDES SENSIBLES (Feat. Gilles Gabriel) Choupissons & Choupissonnes, j’aimerais vous dire que, comme le chante l’inégalable Gilles Gabriel, la vie commence à 40 ans. Ou 46, comme le millésime de votre serviteur, lequel s’est offert un moment suspendu, dans le temps et l’espace, samedi dernier. Pas sur les îlots de Langerhans,Lire la suite « Les Comptines d’Anakin (2) »
D’Un Amour Qui La Flingue (15)
D’UN AMOUR QUI LA FLINGUE 15. Le baveux n’était pas bel homme, mais un costard Armani, sur-mesure, ça vous changeait un gnome. Il avait choisi le lieu : c’était luxueux, calme, voluptueux ; on s’affairait pour vous servir ; un bloody mary pour moi, merci. Dans ce regard professionnel, elle lut d’autres choses. C’était fluctuant entre le désirLire la suite « D’Un Amour Qui La Flingue (15) »
Les Comptines d’Anakin (1)
COMPTINE D’UN AUTRE ÉTÉ (Feat. Yann Tiersen) Si je vous écris, mes ami.e.s, en cette matinée marseillaise lumineuse, c’est pour vous parler des absents. Les nuages d’abord. Le ciel phocéen est d’un bleu absolu, parfois, souvent, et littéralement sans le moindre nuage. Comme ce matin, alors que je vais chercher mes croissants maison-pur-beurre dans laLire la suite « Les Comptines d’Anakin (1) »
Publi-communiqué
LA RILLETTE DE MERLU RIPOLL (*) (by Le-Great-Group) Sponsors Premium : PMU (partenaire du beauf), Crédit Agricole (partenaire du pégu), Orange (partenaire particulier), Volkswagen (le souvenir national-socialiste ému) La Bretagne est une terre d’excellence. Et d’agroalimentaire de pointe. La dernière-née du Groupe Le Great, conserveries situées au cœur du Costarmoricain profond, en est une nouvelle preuveLire la suite « Publi-communiqué »
ON T’AIME COMME TU HAIS
(Comme une fable, sonnet faux) Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !Non ! non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! Cyrano de Bergerac. Acte V, scène 6 C’est un tout petit gnome qui n’est plus un enfant. Ni Nantais, ni beurré, un exemple pour tous, Capitaine proclamé, il n’aLire la suite « ON T’AIME COMME TU HAIS »
D’un Amour Qui La Flingue (14)
D’UN AMOUR QUI LA FLINGUE 14. C’est peu de jours après qu’elle pensa l’apercevoir. Au détour d’un rayon de supermarché, puis sur le trottoir d’en face. Mais elle n’en était pas certaine. Et c’est bien la difficulté, avec la paranoïa naissante, on vogue vers d’étranges contrées intimes, et sans certitude de retour. Marie avait déjàLire la suite « D’un Amour Qui La Flingue (14) »
Petite histoire aléatoire, parcellaire et foutraque du STADE
Episode 2: Le Raffinement à la Romaine Dans l’antiquité romaine, le stade grec, long et ovale devient le cirque, très longue plateforme ou ont lieu les courses de chars et les épreuves sportives (le plus connus, étant sans doute le cirque Maxime) à ne pas confondre avec l’amphithéâtre, de forme ronde entouré de gradins ouLire la suite « Petite histoire aléatoire, parcellaire et foutraque du STADE »
Petite histoire aléatoire et parcellaire (ou l’inverse) du STADE
Quelles histoires fabuleuses pouvons nous raconter autour des stades, mais combien d’autres funestes et lugubres ? Bref, je me lance sur ce sujet car depuis que nous ne pouvons plus aller dans notre lieu de culte, pratiquer notre religion et bien c’est plus pareil. Episode 1: LES ORIGINES A l’origine de l’origine, le stade auraitLire la suite « Petite histoire aléatoire et parcellaire (ou l’inverse) du STADE »
D’un Amour Qui La Flingue (13)
D’UN AMOUR QUI LA FLINGUE 13. Ne saurait dire pourquoi, mais en zieutant longuement le notaire-toubib-agent-d’assurances, à la table du petit-dèj, Marie fut persuadée, voire convaincue, que le lascar s’était paluché toute la nuit dans le dortoir, en pensant à elle. Petit-déjeuner frugal, du pain d’hier, des œufs, des litres de mauvais café. Elle demandaLire la suite « D’un Amour Qui La Flingue (13) »
D’un Amour Qui La Flingue (12)
D’UN AMOUR QUI LA FLINGUE 12. Pas d’hôtel sur l’île ; seulement une auberge : auberge de vieillesse, en quelque sorte. Tenue, si on ose dire, par un vieux bougre, libidineux à souhait. Marie obtint une semi-chambre individuelle, évitant le dortoir, on est pas des bêtes. Au soir, pour le dîner, la tablée était sans doute plusLire la suite « D’un Amour Qui La Flingue (12) »